T𝐞𝐫𝐞𝐬𝐢𝐭𝐚 𝐃𝐮𝐬𝐬𝐚𝐫𝐭, experte en intelligence stratégique :
« Après que l’image ait fait le tour du monde, de Tsahal, l’armée la plus criminelle du monde, utilisant un civil palestinien en bouclier humain, les yeux bandés, les mains liées, sur un capot de blindé, le régime de Tel-Aviv fait recours à sa phrase de circonstance, lorsque le hasbara ne suffit plus, « nous allons enquêter ». Les ploucs de Tsahal finirons félicité en huis clot. La scène se passe en Cisjordanie occupée. Et les immigrants violents uniformés sionistes [IVUS] savent qu’ils commettent un crime car ils cachent la plaque d’immatriculation. Ce n’est pas un incident. C’est un crime. Ce n’est pas un fait isolé. Ils l’ont toujours fait. Ils sont mauvais. Ils n’ont pas de code d’honneur. Ils sont lâches. Ils sont néfastes.
Israël a déjà utilisé des civils comme boucliers humains, a déjà utilisé des bombes de phosphore blanc, a déjà utilisé des bombes d’uranium appauvri à Gaza, a déjà bombardé délibèrement et en quantité massive des maisons civiles en les dynamitant de l’intérieur (pas un dommage collatéral), a déjà eu pour tactique du psychopathe, depourvu de tout sens de l’honneur et du code de la guerre qui traverse tous les temps, de bombarder les infrastructures médicales et ambulances.
Pour booster un psychopathe, rien de tel que de lui garantir l’impunité. L’impunité est le terreau de la perception de l’hyperpuissance en diffraction de la réalité. Car sorti de l’instinct assassin en meute, le soldat israélien est un mauvais soldat.
Notre grande capacité a oublier des choses qui se sont passées il y a dix ans, deux ans, six mois, ajoute du feu à cette impunité incendiaire.
La propagande israélienne a, par ailleurs, beaucoup fait pour installer une sensation de tabou lorsqu’il s’agit de nommer l’abjection de sa politique et le consensus partagé par toute sa société sur ces pratiques.
Il n’y a pas de tabou. L’esprit est libre et le libre arbitre n’admet aucun renoncement moral, aucun aveuglement imposé de l’extérieur.»