D’après les sources de Maghreb-Intelligence, le tribunal de Nanterre qui a décidé sa remise en liberté l’a mis sous contrôle judiciaire en lui interdisant de quitter le territoire français jusqu’à la fin de l’enquête.
Soupçonné par la DGSE d’être en contact avec des éléments infiltrés par les services algériens et voulant commettre des violences contre les opposants algériens sur le sol français, Said Bensedira envisagerait de faire des déclarations accusant le Maroc d’être derrière une « machination » qui viserait à le décrédibiliser. Selon les sources de Maghreb-Intelligence, ce personnage loufoque et « borderline » oserait même accuser les Français et les Marocains de dealer afin de l’envoyer à Rabat.
Tout laisse à croire qu’une grosse affaire se cache derrière l’interpellation de Said Bensedira. Les prochains jours risquent d’apporter un lot de révélations très compromettantes pour le régime algériens.