Le gouvernement a attribué à certains établissements et entreprises opérant dans le domaine de l’alimentation animale, en particulier sur les marchés de l’Aïd al-Adha, la responsabilité de ne pas avoir pris assez de précautions pour empêcher l’utilisation de substances suspectes en évitant de les mentionner sur l’étiquetage des sacs et de spécifier les constituants des aliments composés et les marges autorisées, rapporte le quotidien « Assabah » dans sa livraison de ce samedi 13 avril.
Les ministères de l’Intérieur et de l’Agriculture semblent ne rien épargner pour s’assurer que les substances destinées à l’alimentation du bétail et de tous les autres animaux commercialisés ne représentent pas de danger pour la santé, et qu’elles n’entraînent aucun changement nocif dans les produits d’origine animale consommés par les êtres humains, en tenant compte des normes internationales en vigueur dans le domaine.
Lors de sa dernière réunion, le gouvernement a adopté un décret spécial relatif à la qualité, la sécurité sanitaire et l’étiquetage des matières destinées à l’alimentation des animaux producteurs de produits alimentaires.