Étiquette : technologie

  • La Chine est une partenaire fiable pour le développement technologique de l’Ethiopie

    La Chine est une partenaire fiable pour le développement technologique de l’Ethiopie

    La Chine est une partenaire fiable qui apporte un « soutien inestimable » au développement scientifique de l’Ethiopie, ont déclaré de hauts responsables éthiopiens en amont du sommet 2024 du Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA).

    Le ministre d’Etat de l’Innovation et des Technologies, Bayissa Bedada, a récemment expliqué à Xinhua que la Chine était une partenaire fiable de l’Ethiopie dans son processus de création d’une économie basée sur le savoir à travers la promotion des sciences, technologies et innovations.

    « Nous jouissons de relations bilatérales solides avec la Chine depuis plusieurs années, caractérisées par des projets de développement conjoints en matière de recherche, des transferts de technologie, des échanges entre les peuples, la création de laboratoires et d’autres initiatives », selon M. Bedada.

    Le responsable a affirmé que la Chine soutenait aussi l’Ethiopie dans la création d’institutions de recherche, la construction de parcs industriels et technologiques ainsi que la promotion de centres d’incubation.

    « Nous souhaitons promouvoir la recherche et le développement conjoints, notamment dans les secteurs de l’agriculture, de l’industrie, des sciences émergentes, des biotechnologies et des sciences spatiales », a poursuivi M. Bedada.

    Belete Molla, ministre éthiopien de l’Innovation et des Technologies, a noté que les étudiants et chercheurs éthiopiens qui reçoivent des bourses d’étude en Chine contribuent « considérablement » au développement de leur pays dans les sciences et technologies.

    « Concernant les sciences, les innovations technologiques, la recherche et la numérisation, il n’y a pas de meilleur pays que la Chine dont nous puissions nous inspirer. La Chine est en première ligne des progrès technologiques et scientifiques », a soutenu M. Molla.

    Le ministre a souligné que l’Ethiopie avait tiré beaucoup de leçons des aspirations scientifiques et technologiques de la Chine ainsi que de ses politiques et stratégies.

    Il a formulé l’espoir que la Chine apportera à son pays un soutien accru dans des domaines tels que les transferts de technologies, le développement des talents et le développement des sciences spatiales, tout en ajoutant que l’Ethiopie continuera de promouvoir de bonnes relations avec le pays asiatique.

    Simenew Keskes, conseiller technologique du ministère de l’Innovation et des Technologies, a déclaré que les échanges entre les peuples avec la Chine joueront un rôle central dans le développement de l’innovation, le renforcement des capacités technologiques et l’approfondissement de la compréhension interculturelle.

    « A travers des partenariats avec des organisations et institutions renommées en Chine, nous avons posé des bases solides en faveur d’initiatives de collaboration qui facilitent les échanges d’expertise, de bonnes pratiques et de technologies de pointe », selon M. Keskes.

  • Indice de développement des TIC 2024 : le classement des pays africains

    Indice de développement des TIC 2024 : le classement des pays africains

    Le rapport révèle que les scores de l’écrasante majorité des 47 pays africains étudiés ont progressé par rapport à 2023. Des écarts importants persistent cependant entre ces pays.  

    La Libye, le Maroc et les Seychelles sont les pays qui affichent les niveaux de développement des technologies de l’information et de la communication (TIC) les plus élevés en Afrique, selon un rapport publié fin juin dernier par l’Union internationale des télécommunications (UIT).

    Intitulé « Measuring digital development – ICT Development Index 2024 », le rapport évalue les progrès réalisés dans le domaine du développement des TIC dans 170 pays et territoires à travers le monde en se basant sur 10 indicateurs, dont le pourcentage des particuliers utilisant Internet, la pénétration de la téléphonie mobile à large bande mobile, le trafic Internet à large bande mobile, le prix des données mobiles et des services voix et le taux de possession de téléphones mobiles.

    Les pays et les territoires étudiés sont notés sur une échelle allant de 0 à 100 points pour chaque indicateur. Les scores des différents indicateurs ont été ensuite combinés avec le même degré d’importance pour dégager un score global pour chaque pays allant, lui aussi, de 0 (absence totale de connectivité) à 100 points (connectivité optimale).

    La Libye tient le haut du pavé sur le continent africain avec un score de 88,1 points. Ce pays pétrolier d’Afrique du Nord a réalisé une progression de 8,7 points en une seule année, passant du 5e rang au premier rang grâce notamment à une forte hausse de la pénétration de la téléphonie mobile et d’Internet.

    Le Maroc occupe la deuxième marche du podium avec un score de 86,8 points, devant les Seychelles (84,7 points), Maurice (84,2), l’Afrique du Sud (83,6), l’Algérie (80,9), le Botswana (78,7), la Tunisie (77,2) et l’Egypte (76,8) alors que le Gabon ferme le Top 10 africain avec un score de 74,7 points. (Voir le classement complet des pays africains couverts par l’indice ci-dessous).

    Le rapport souligne que le score moyen de l’Afrique s’est établi à 50,3 points, enregistrant ainsi une hausse de 3,7 points par rapport à l’édition 2023 de l’indice grâce aux progressions réalisées par l’écrasante majorité des pays étudiés.

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    Les écarts restent également énormes entre les différents pays du continent. A titre d’exemple, l’écart entre la Libye et le Tchad a atteint plus de 66 points.

    Classement des pays africains selon le développement des technologies de l’information et de la communication en 2024 :

    1-Libye (88,1)

    2-Maroc (86,8)

    3-Seychelles (84,7)

    4-Maurice (84,2)

    5-Afrique du Sud (83,6)

    6-Algérie (80,9)

    7-Botswana (78,7)

    8-Tunisie (77,2)

    9-Egypte (76,8)

    10-Gabon (74,7)

    11-Eswatini (70,4)

    12-Sénégal (69,3)

    13-Cap-Vert (69,1)

    14-Namibie (68,8)

    15-Ghana (66,2)

    16-Côte d’Ivoire (65,3)

    17-Djibouti (61,6)

    18-Kenya (58,5)

    19-Sao Tomé-et-Principe (55,9)

    20-Zambie (55,6)

    21-Mauritanie (55,5)

    22-Angola (49,9)

    23-Lesotho (48,8)

    24-Zimbabwe (47,7)

    25-Comores (46,5)

    26-Nigeria (46,9)

    27-Rwanda (46,8)

    28-Togo (46,2)

    29-Bénin (45,4)

    30-Guinée équatoriale (44,8)

    31-Cameroun (44,2%)

    32-Tanzanie (43,1)

    33-Mali (40,4)

    34-Ouganda (40,4)

    35-Ethiopie (39,8)

    36-Liberia (37,1)

    37-Guinée-Bissau (36,9)

    38-Sierre Leone (34,3)

    39-Malawi (33,1)

    40-Mozambique (32)

    41-RDC (31)

    42-République du Congo (30,7)

    43-Burkina Faso (30,1)

    44-Madagascar (29,9)

    45-Somalie (28,7)

    46-Burundi (24,4)

    47-Tchad (21,3)

  • Un concours de compétences en Chine offre aux jeunes Africains l’opportunité de développer leurs techniques

    Un concours de compétences en Chine offre aux jeunes Africains l’opportunité de développer leurs techniques

    Mohamed Salifou, un Béninois de 23 ans passionné par la robotique, s’est félicité de l’atmosphère propice offerte par un concours de compétences en Chine.

    La deuxième édition du Concours international de compétences « la Ceinture et la Route » s’est tenue du 24 au 26 juin à Chongqing, municipalité dans le sud-ouest de la Chine. Près de 600 professionnels qualifiés de 61 pays et régions ont participé à cet événement, avec une moyenne d’âge de 22 ans, dont plus de 95% d’entre eux ont 30 ans ou moins.

    Représentant le Bénin dans la catégorie de l’exploitation des systèmes robotiques industriels, M. Salifou a été impressionné par la Chine lors de sa première visite dans ce pays.

    « La Chine est un pays que j’admire et j’ai toujours eu envie de venir ici, parce que c’est un pays très avancé technologiquement, un pays de référence pour tous les passionnés de robotique ou de technologies », a-t-il indiqué.

    En échangeant avec des candidats venus de différents pays, M. Salifou a déclaré avoir beaucoup appris lors de ce concours. « Ce concours m’a permis d’acquérir beaucoup de nouvelles compétences, pas seulement une, mais beaucoup de choses que j’ignorais et que je vais améliorer dans ma façon de concevoir des robots », a-t-il poursuivi.

    Pour sa part, Gbassay Kallon, une participante du Liberia dans la même catégorie, a également remarqué l’importance du concours. « Ce concours nous a fourni des installations et des équipements et nous permet de développer nos propres idées et de construire nos propres robots », a-t-elle déclaré.

    Ce concours offre aux jeunes Africains une plate-forme pour montrer leurs acquis. Un nombre croissant de jeunes Africains a participé cette année à ce concours, couvrant des catégories liées aux technologies de pointe telles que la robotique et l’Internet des objets (IoT). Cela illustre l’importance accordée par l’Afrique au développement technologique et à la formation de personnes dans ces domaines.

    Le Bénin met l’accent sur l’éducation technologique et professionnelle, en particulier dans les domaines des technologies informatique et de la mécanique. Le pays espère former plus de jeunes avec de réelles compétences et de véritables connaissances, plutôt que de simples diplômés universitaires, a déclaré mardi Modeste Kerekou, ministre des Petites et moyennes entreprises et de la Promotion de l’emploi du Bénin, lors d’une interview accordée à l’Agence de presse Xinhua.

    Malgré sa petite superficie, le Bénin est un grand pays marqué par son dynamisme et les compétences de sa population, a indiqué le ministre béninois. Il a invité les entreprises chinoises à investir au Bénin dans le cadre de l’initiative « la Ceinture et la Route » pour créer davantage d’emplois pour la population, en particulier pour les jeunes Béninois.

    Les jeunes du Bénin et de la Chine pourront mieux se connaître et améliorer leurs compétences à travers les échanges interpersonnels, et progresseront en commun, a-t-il ajouté.

  • Bernhard H. Mayer dévoile la montre OMNI : quand la durabilité rencontre le luxe

    Bernhard H. Mayer dévoile la montre OMNI : quand la durabilité rencontre le luxe

    Bernhard H. Mayer®, la prestigieuse marque de luxe de QNET, a annoncé aujourd’hui le lancement de la montre OMNI, un ajout révolutionnaire à sa collection exquise qui associe élégance de premier ordre et conscience environnementale. Dans le cadre de ce lancement, QNET a réaffirmé son engagement envers la durabilité en s’associant à des organisations écologiques pour planter des arbres à chaque vente de la montre OMNI, amplifiant ainsi l’impact de la marque sur les efforts mondiaux de reforestation. 

    La montre OMNI se décline en sept variantes distinctes, chacune dotée de bracelets en polyuréthane thermoplastique (TPU) et de boîtiers fabriqués à partir de 85% d’acier recyclé. Ce design incarne non seulement la durabilité et la flexibilité, mais met également en valeur l’engagement de la marque à réduire son impact environnemental, s’alignant ainsi sur les dernières préférences des consommateurs en matière de produits de luxe durables.

    « En développant la montre OMNI, nous avons été guidés par notre vision d’intégrer des pratiques respectueuses de l’environnement à notre tradition d’excellence horlogère. Ce produit s’adresse à ceux qui veulent tout – style, sophistication et mode de vie durable », a déclaré Trevor Kuna, Directeur de la Transformation et de la Réputation chez QNET.

    Pour lancer l’initiative de plantation d’arbres, 1 500 arbres ont déjà été plantés – 500 au Caire, en Égypte, en collaboration avec Shagarha, et 1 000 à Amizmiz, au Maroc, en partenariat avec la Fondation du Haut Atlas. Ces efforts font partie du programme Green Legacy de QNET, une campagne de reboisement qui a déjà permis de planter plus de 10 000 arbres dans le monde au cours des deux dernières années. 

    « Chaque montre OMNI vendue se traduit directement par la plantation de plus d’arbres, renforçant ainsi notre couverture végétale mondiale et contribuant aux communautés que nous servons. Grâce à ces actions, nous réaffirmons notre engagement envers la planète et nos clients, garantissant que nos produits de luxe laissent un héritage positif », a ajouté M. Kuna.

    Amina El Hajjami, Directrice des Programmes pour la Fondation du Haut Atlas, a souligné l’ampleur et le potentiel futur de cette initiative : « Planter des arbres joue un rôle crucial dans notre engagement à préserver la biodiversité et à promouvoir des pratiques durables. Grâce au soutien inestimable de QNET, nous avons réalisé des bénéfices environnementaux significatifs dans la région d’Amizmiz. La plantation de ces 1 500 arbres initiaux marque simplement le début. Nous sommes impatients d’intensifier nos efforts en plantant davantage d’arbres dans les mois à venir pour poursuivre nos objectifs environnementaux. » 

    La montre OMNI est disponible à l’achat via le réseau de distribution exclusif de QNET, offrant ainsi aux consommateurs du monde entier la possibilité de participer à un luxe qui mène vers un avenir plus vert.